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10 août 2010 2 10 /08 /août /2010 09:28

http://download.breakbeat.co.uk/ImageThumbnail.ashx?width=280&height=280&image=%2FShared%2FMusic%2FCompilations%2FGetDarker+presents+THIS+IS+DUBSTEP+VOLUME+1+(EXPANDED)%2FTHIS+IS+DUBSTEP+VOLUME+1+(EXPANDED)_Chase+%26+Status_artwork.jpg

 

Album : This Is Dubstep Vol.1

Genre : Dubstep

Date de sortie : 21/07/2010

Label : GetDarker/AEI Music.

 

Genre musical de la famille électronique le dubstep s'apparente également au hip hop comme l'a prouvé l'excellent album   WU-TANG Meets The Indie Culture Vol.2 : Enter The Dubstep .

Les basses surpuissantes côtoient des envolées technoïdes prenantes sur des rythmes syncopés. Cette alchimie sonore propulse ses auditeurs dans les lymbes musicales aquatiques, hypnotisantes, underground certes mais en voie de démocratisation.

 

Et puis dans dubstep il ya DUB : l'influence de ce courant jamaïquain reste toujours perceptible et les samples de grands 'monsieurs' comme Lee Perry ou King Tubby hantent les pistes pour le plus grand bonheur des puristes.

 

La compilation ici présente offre une opportunité vraiment classe de découvrir ce mouvement avec deux cds à l'architecture classique mais bien pensée. En gros un mix excellent de Dj Darkside qui fera grand effet pour lancer une soirée perchée à 10000 pieds et une seconde galette qui offre tous les morceaux séparément.

Tout commence presque tranquillement avec des tracks aux influences hip hop issues de la sélection de Dj Darkside. Tron et Radical sont deux titres efficaces que ne bouderaient pas nombre de mcs reconnus, ils lancent le mix de manière imparable.

Et dès lors ça monte doucement en puissance, notamment avec Beyond de Distance où doucement mais sûrement le ragga vient côtoyer le dupstep : l'énergie est bien présente et elle ne saurait disparaître sous aucun prétexte !

Ca se confirme avec les très dansant Neighbourhood 09, et alors là attention on va osciller du popotin pendant un bon moment.

Tout aussi prenants 3k lane (Jakes & Joker) et Sunshine (Macabre Unit) ouvrent une voie royale aux acharnés jusqu'à l'éblouissant Dr Sin de Chasing Shadows, titre aux relents d'apocalypse fort bienvenus dont on reprendrait bien une petite dose.

 

On peut remercier Getdarker de commercialiser des compilations de cette envergure, l'écoute de ce THIS IS DUBSTEP n'ayant rien d'une épreuve et tant qu'à faire remercions tout autant ce Dj Darkside dont la performance globale est à relever.

 

Du tout bon qu'on vous dit, alors foncez écouter ça car les volumes 2 et 3 sont déjà sortis à ce qu'il paraît...

 

 

Liens Utiles :

 

LIEN VERS GETDARKER


POUR COMMANDER LE SKEUD

 

 

Tunes & Videos :

 


 

 

 

 

 

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3 août 2010 2 03 /08 /août /2010 09:50

Kutu-folk.jpg

 

Voici enfin des nouvelles du label clermontois qui monte : Kütu Folk se dévoile via un site au contenu fort alléchant !

 

En suivant CE LIEN vous arriverez directement sur une page d'accueil que l'on vous recommande chaleureusement.

Vous aurez la possibilité de vous tenir au courant de l'actu' des artistes, des dates de concerts à venir, mais aussi d'acheter vos albums préférés ou encore de télécharger gratuitement et en toute légalité des extraits de live ou des compilations de morceaux sélectionnés.

 

Kütu Folk pour ceux qui ne connaissent pas encore c'est donc un joli petit label français de musique folk basé à Clermont-Ferrand qui met en avant des artistes originaux et talentueux, qu'ils soient originaires de Clermont, du Canada, voire des Etats-Unis.

 

St Augustine ou Leopold Skin proposent ainsi du folk classique plein d'émotions et d'authenticité, The Delano Orchestra offre des sonorités oscillant entre grunge et folk, alors que Pastry Case mélange ces mêmes influences avec un hip hop assez barré.

Soso rejoint à son tour cette joyeuse bande de musiciens après un album hip hop flirtant avec le rock indé qui ne pouvait laisser personne insensible : une évolution logique.

 

Vous n'avez plus qu'à vous précipiter ICI pour profiter des morceaux mis gratuitement à disposition par Kütu Folk et télécharger ainsi toute une batterie d'extraits de concerts et de titres excellents ! (Il vous faudra juste un logiciel du genre de 7-zip  pour extraire les fichiers).

 

Que ce soit via les albums ou grâce à des concerts il ne reste plus qu'une chose à faire: foncer pour profiter de cette musique si agréable mais aussi pour soutenir un collectif français qui se bouge les fesses pour promouvoir de la bonne zique !

 


 


 

 

 

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30 juin 2010 3 30 /06 /juin /2010 11:18

http://static3.unlike.net/system/photos/0028/1402/trentemoller.jpg

 

 

 

 

Trentemoller est un bidouilleur sonore comme on les aime !

Ce musicien Danois a commencé en 1996/1997 aux côtés de DJ T.O.M au sein du groupe Tribag en évoluant principalement dans un registre house pour clubbers infatigables.

 

En 2000 le groupe se sépare et Trentemoller se lance en solo. En 2003 sa carrière prend son envol grâce au titre Le Champagne qui sera considéré comme l'un des 10 meilleurs titres electro par de nombreux magazines. L'année suivante le bonhomme est élu n°1 aux Danish Dj Awards.

 

Sur scène notre dj nordique assure le spectacle, sa réputation grandit et n'est pas usurpée.

2006 sera l'année de son premier album intitulé The Last Resort au succès tant commercial que critique. Les ambiances feutrées et froides se mêlent à des rythmes hypnotiques sur lesquels de vieux claviers viennent poser d'étranges sonorités. Une réussite totale.

 

Si les Maxis de l'artiste sont plutôt orientés vers un son club, ses albums proposent quant à eux des ambiances incroyables beaucoup plus cinématographiques. Ainsi sur son dernier album (Into The Great Wide Yonder, 02/06/2010, La Baleine) on découvre une musique hallucinée, sorte de mélange entre la new wave, le rock noisy, l'electronica, et la dubstep. 

 

Impossible de louper la vague Trentemoller : il le mérite bien, et vos tympans vous en remercieront !

 

Trentemoller en live video :

 

Lien utile :

 


 


 


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25 juin 2010 5 25 /06 /juin /2010 09:15

http://ec1.images-amazon.com/images/I/61YsvmSngOL._AA240_.jpg

 

Artiste : Bracken

Genre : électronique

Label : Anticon

Année : 2007

 

 

Et voici donc l’une des productions du label Anticon. Basé à Oakland, USA, Anticon est devenu le fer de lance de l’électro-hip-hop, de l’électronica et du folk revisité.

Après Alias, Sole, Why ?, c’est au tour de Bracken de nous emmener dans une sphère musicale étrange et rêveuse…

 

Projet solo de Chris Adams (ancien co-fondateur du groupe post punk Hood) ce We know about the need est un album assez déroutant à la première écoute. Des sons 70’s se mêlent à des bruitages industriels, l’instrumental côtoie l’électronique, la voix est perdue quelque part entre les 80’s et le début du folk. Pourtant il se dégage une atmosphère tellement personnelle et planante que l’on y replonge sans soucis,  prêts à dépasser nos propres barrières sonores.

 

Ce disque se situe donc dans un univers barré, entre pop psychédélique et électronica downtempo. Il s’agit d’un grand foutoir musical, une sorte de voyage intimiste toujours surprenant, et surtout d’une grande qualité. Si vous croyez encore aux fées, aux voyages à travers le cosmos, si vous pensez qu’il y a encore des formes de vies inconnues au fond des océans ou que votre voisin n’est pas totalement Terrien, vous aurez toutes les chances d’accrocher à cet opus.

 

Car ce qui ressort finalement de cet album une fois que l’on se l’est bien approprié c’est son côté planant, fantastique, doux et pourtant tellement distant. Un peu comme les bouquins de science fiction des années 60…

 

S’il devait y avoir une comparaison à faire, ce serait avec le projet de Fog, issu de chez Ninja Tune, qui avait réussi lui aussi en son temps à construire une musique dans la même veine, un peu plus influencée par le hip-hop, mais qui mélangeait avec brio la pop, le folk, et les beats électroniques.

 

En résumé vous pouvez déguster ces onze pistes en toute tranquillité, préparez vous juste à entrer dans un univers décalé, fait d’arrangements farfelus au début et qui se révèlera petit à petit comme un incontournable de votre collection…

 

 

Tracklisting :


1. Of Athroll Slains  

2. Heathens   

3. (Int) 

4. Fight or Flight   

5. Safe Safe Safe   

6. Music for Adverts  

7. Evil Teeth 

8. Four Thousand Style   

9. Monte Lament  

10. Many Horses 

11. Back on the Calder Line   


A voir :

 

 

Pour en savoir plus :


 


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2 juin 2010 3 02 /06 /juin /2010 09:49

numerisation0001-copie-3.jpg

 

 

 

Artiste : Karen Elson

Titre : The Ghost Who Walks

Genre : Indie-Country

Sortie : 25/05/2010

Label : XL Recordings

 

On peut être top modèle, mariée à un homme célèbre et être une chanteuse de talent.

Je pense à ? Non, non, et non : pas à Carlita c'est certain !

 

Karen Elson, née un beau jour de janvier 1979, a en effet connu le succès dans l'univers de la mode et ce n'est point une surprise tant cette rousse sensuelle focalise sur elle les regards.

Cependant elle est aussi une chanteuse reconnue par la critique depuis quelques années, notamment grâce à des reprises du Velvet Underground, Serge Gainsbourg, Leonard Cohen.

 

Sa rencontre, amoureuse et artistique, avec le chanteur des White Stripes (Jack White) sera déterminante quant à sa carrière musicale. C'est lui en effet qui produit le premier album de Karen, le sobre et réussi The Ghost Who Walks.

 

Le folk et la country se disputent le monopole au sein de cette production efficace, d'où se détachent les très réussis Stolen Roses, The Truth Is In The Dirt ou encore Cruel Summer.

La voix de Karen se pose en douceur sur des instrumentaux qui rappelleront bien évidemment la présence du leader des White Stripes. Touchante, planante, cette voix évoquera à certains Alela Diane ou Mariee Sioux dans un registre moins indie tout de même.

 

On vogue d'atmosphères dignes des plaines américaines (The Last Laugh) à d'autres plus foldingues évoquant les cabarets d'une autre époque (100 Years From Now) avec une simplicité déconcertante, on partage ainsi ces petits instantanés intemporels avec délice.

 

The Ghost Who Walks est donc un premier album réussi, léger et qui donnera certainement à Karen Elson l'impulsion nécessaire pour débuter une carrière de chanteuse plus que séduisante.

On attendra cependant sa seconde production en espérant y déceler un léger grain de folie supplémentaire qui lui permettra de s'émanciper plus clairement des autres chanteuses folk de sa génération.

 

Un joli album donc, pour une conteuse moderne qui n'est pas en reste.

 

Affaire à suivre...

 

Tracklisting :


1/ The Ghost Who Walks

2/ The Truth Is In The Dirt

3/ Pretty Babies

4/ Lunasa

5/ 100 Years From Now

6/ Stolen Roses

7/ Cruel Summer

8/ Garden

9/ The Birds They Circle

10/ A Thief At My Door

11/ The Last Laugh

12/ Mouths To Feed

 

Liens Artiste :

 

Myspace de Karen Elson !

 

Vidéo :

 


 

 

Reprise :

 

 


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29 mai 2010 6 29 /05 /mai /2010 11:48

 

http://photos.lacoccinelle.net/37/63/93763.jpg

 

 

 

 

Les origines de Black Uhuru remontent à 1972 lorsque Rudolph Dennis, Derick Simpson et Euvin Spencer enregistrent deux morceaux sous le nom de The Sound Of Freedom.

Peu de temps après Derick se retrouve en solo suite aux départs de ses compagnons, mais c'est alors qu'arrivent Errol Nelson, Michael Rose et la rythmique basse-batterie incarnée par Sly Dunbar et Robbie Shakespeare. Nous sommes alors en 1977 et le groupe qui s'appelle maintenant Black Sounds Uhro enregistre le titre Love Crisis.


C'est à l'arrivée de la chanteuse Sandra Jones, qui remplace Errol, que le groupe prendra vraiment son envol. 1980 marque un tournant avec la sortie de deux albums légendaires : Black Uhuru et Sinsemilia.

Le son est roots mais clairement dub, les thématiques engagées sont légion, les rastas prennent vraiment du poil de la bête !


Après avoir enregistré quelques titres sur le label de Dennis Brown, voilà que Black Uhuru enregistre (et ils seront les premiers) sur le nouveau label de Sly & Robbie (Taxi Records).


En 1981 débarque l'album Red qui est considéré à ce jour comme le meilleur du groupe.

Le tube What Is Life donnera à Black Uhuru une vraie reconnaissance internationale.


On verra les jamaïcains aux côtés des Clash, des Rolling Stones ou même de Police lors de tournées mémorables.


Le départ de Michael Rose perturbera grandement l'histoire de ce collectif qui ne s'en remettra jamais, le parcours du groupe devenant chaotique jusqu'à aujourd'hui.


Pourtant il est tout simplement inimaginable de passer à côté de Black Uhuru lorsque on évoque la culture roots : ce groupe a su propulser un son bien différent dans les hautes sphères de la musique internationale !

 


 

Vidéo au Reggae Sunsplash 1984 :

 

 

 


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21 mai 2010 5 21 /05 /mai /2010 16:39

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Titre : Motherland

Artiste : Bouddha Sticks & Jah Pearl

Genre : Reggae, New Roots

Date de sortie : 17/05/2010

Label : Gibraltar

 

Le soleil revient, les festivals reggae roots également. Et puis tant qu'à y être on commence à farfouiller dans les bacs à la recherche d'un bon skeud à faire tourner tout l'été.

La bonne surprise vient en ce mois de mai d'un groupe français qui balance une musique emplie de bonnes vibes chaleureuses.

Amateurs de reggae vous ne devez pas passer à côté de ce Motherland et voici pourquoi !

 

On peut reprocher parfois aux groupes de reggae francophone d'être trop sages ou trop lisses c'est au choix. C'est donc avec une légère appréhension qu'on glisse un nouveau cd dans la chaîne, en espérant ne pas être trop déçu. Et là, enfin, une accroche directe : Motherland commence très fort c'est le moins qu'on puisse dire.

 

Avec Mountain Top (reggae frais et léger aux choeurs enthousiasmants), mais avec surtout la tuerie teintée de ragga Burning Fire feat. Anthony John, le reggae band Bouddah Sticks impose instantanément son style. Ca joue juste, carré, avec une vigueur bienvenue et une bonne humeur communicative.

 

Qu'on ne s'y trompe pas : les gonzes ont enregistré leur galette au studio Gibraltar (France) mais parallèlement en Jamaïque à Tuff Gong (rien que ça !), Caveman, et Cutstone. Qualité sonore garantie, avec un grain excellent qui rappelle les grosses productions de ces dernières années.

 

Du bon goût à tous les étages puisque le dancehall décadent et incitatoire du festif Likkle Breda vient répondre au très nyahbinghi Homeless sans aucun soucis de cohérence. Les tracks s'enchaînent avec une facilité déconcertante, nous faisant voyager dans les arcanes de la musique roots moderne. Quelle puissance mes aïeux, on aura du mal à s'en remettre.

 

Pour ne rien gacher les deux titres chantés en français ne dénotent pas. C'est Pour Ceux qui veulent gravir La Route Pour Zion que Motherland semble avoir été enregistré. Une vraie perle reggae que cet album, on y plonge avec délice pour en ressortir regaillardi avec un grand sourire au coin des lèvres.

 

On assiste peut être, sans vouloir non plus discréditer d'autres groupes de la scène reggae française, à la (re)naissance du mouvement culturel rasta en métropole.

 

Buddha sticks & Jah Pearl s'imposent comme une pierre angulaire du reggae français aux côtés des No More Babylon et autres Jim Murple Mémorial.

 

Pour un coup d'essai c'est bien un coup de maître.

 

Tracklisting :

1/ Mountain Top (4'46)

2/ Burning Fire feat. Anthony John (5'15)

3/ I Roar (3'40)

4/ C'est Pour Ceux (3'43)

5/ Likkle Breda (4'16)

6/ Who We Are feat. Spectacular (4'22)

7/ Motherland (4'46)

8/ Tell Dem (3'15)

9/ Baby Girl 4'58)

10/ Rising feat. Chedizek (4'24)

11/ Poverty feat. Mabrakat (4'23)

12/ Homeless (5'04)

13/ La Route Pour Zion (3'49)

14/ Now (2'24)


Lien vers le myspace de l'artiste.

 

Ecouter l'album :

 

 

 

Vidéo :

 

 

 



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14 mai 2010 5 14 /05 /mai /2010 18:12

http://www.jarringeffects.net/riddimcollision/wp-content/uploads/2009/07/k-the-i___.jpg


 

 

K-The-I ??? nous arrive tout droit de Los Angeles où il participe activement à l'élaboration d'un hip hop underground un peu barré qui fait le plus grand bien.


Alors bien sûr il y a tout un tas de producteurs de talent avec qui il collabore et afin de ne pas brouiller trop les pistes nous évoquerons ici ses performances sur les beats de Thavius Beck ou de Meaty Ogre.

 

Aux côtés de Thavius Beck notre bonhomme gravite au sein du label Mush Records (Busdriver, cLOUDDEAD, Aesop Rock). Il peut dès lors s'enorgueillir de faire partie d'une bande d'artistes reconnus, d'aventuriers sonores qui mêlent avec brio l'électronique et le hip hop.

 

Quant à Meaty Ogre il est lui aussi un beatmaker de talent (on se souviendra longtemps de l'album Freezer Burner enregistré avec le Mc Qwel) et il propose de temps à autre des sons à K-The-I ???. Pour avoir vu poser le gonze sur un de ses instrus on est en droit de se dire qu'à eux deux ils vont en faire du bruit !

 

Il faut également savoir que K-The-I ??? a fait des apparitions remarquées sur les labels Big Dada (branche hip hop de Ninja Tune), et Anticon (Serengeti & Polyphonic, Alias, Dosh, etc...).

 

Bref les amateurs de downtempo, de zique destructurée, d'envolées poétiques et de performances live étonnantes se doivent de se pencher encore plus sérieusement sur la carrière de ce rappeur US !

 

Albums :


03/2008 : Broken Love Letter

11/2008 : Yesterday, Today, Tomorrow

 

 

En savoir plus :


Lien vers le Myspace de K-The-I ???

 


Vidéos :

 

 

 


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7 mai 2010 5 07 /05 /mai /2010 09:18

http://mixonline.com/mag/BurningSpear.gif

 

 

 

 

Winston Rodney est né le 1er mars 1948 à St Ann's Bay en Jamaïque.

On n'en sait pas trop sur son enfance à priori difficile et pauvre, il semblerait que Burning Spear ait évolué au sein d'une famille qui dut fournir un dur labeur afin d'offrir de maigres opportunités à ses enfants. Un vie pas facile en somme...

Et la musique lui apparaissait comme le meilleur moyen de sortir sa famille de la pauvreté.

 

Burning Spear raconte : "J'étais en train de marcher dans les montagnes de Saint Ann, l'esprit ailleurs, sans savoir où j'allais vraiment. Soudain, je me suis mis à courir chez Bob (Marley), là aussi sans bien savoir pourquoi. Fourche à la main, Bob était en train de rejoindre sa ferme en tenant un âne sur lequel étaient accrochés des plantes et des outils. On a parlé un peu et je lui ai demandé où je pouvais m'adresser pour faire de la musique. Et Bob m'a répondu de voir ça avec le Studio One."

 

Dès lors Burning Spear vivra par et pour le reggae. Il enregistre deux albums majeurs que sont Door Peep et Rocking Time. Puis il se dirigera vers le label Island qui devint un référence pour la production roots.

 

En 1978 on a pu l'apercevoir dans le film Rockers aux côtés de Kiddus I, Big Youth ou encore Jacob Miller. On se souviendra longtemps de sa performance a capella de Jah No Dead en bord de mer.

 

Grand défenseur de Marcus Garvey il réédite ses albums Marcus Garvey et Marvey's Ghost lors du centenaire de la naissance de cette figure de l'identité noire.

 

En 2002 il monte son propre label Burning Spear Records.

 

 

Burning Spear est et restera un chanteur engagé et mystique pour bien des fans de reggae !

 

 

Marcus Garvey par Burning Spear :

 

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19 avril 2010 1 19 /04 /avril /2010 23:45

http://dreamchimney.com/tracks/artist_images/20235_image0_20080626_auto.jpg

 

 

 

http://www.nublu.net/images/friendspics/uroy.jpg

 

U Roy est né en 1942 à Jones Town en Jamaïque.

Sa carrière musicale prend son envol en 1961 lorsqu'il s'affirme comme chanteur pour plusieurs sound system.


Aux côtés de King Tubby il prend du grade, et son style commence à devenir une référence.

En effet U Roy est un chanteur avant tout, et sa manière d'animer les soirées reggae ou dub est novatrice à bien des égards.


Dans les années soixante-dix John Holt le repère, et c'est sous la férule du producteur Duke Reid qu'il signe ses premiers gros singles avec Wear You The Ball et Wake The Town.


Avec plus d'une vingtaine d'albums à son actif, avec des collaborations intensives tout autour de la planète, U Roy est devenu une des figures du reggae international.


Vous voulez en savoir plus ? Lien vers le Myspace de U Roy !

 

U Roy en concert à Paris :

 

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