13 juillet 2009
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Flox raconte son cheminement sur son myspace, la parole est à l'artiste :
"Né à Londres il y a quelques années... Arrivé à Paris à l'âge de 11 ans. Commence à jouer de la batterie à l'âge de 12 ans. S'ennuyait à l'école jusqu'à l'âge de 17 ans. Resta 5 ans à l'école supérieure Estienne. Cela nous amène à l'âge de 23 ans. Jusque là j'avais joué dans divers groupes punk/hardcore mais également dans un groupe de reggae. Trouve un boulot dans une entreprise d'informatique après ses études. Travaille là quelques années en n'abandonnant jamais la musique et le plaisir qu'elle procure. Mène également une batucada. Quand le groupe s'arrête (en 2003) j'ai pensé à réaliser mon premier album avec quelques morceaux que j'avais gardés dans ma manche ! L'album a été enregistré par underdog records trois années plus tard. La chanson
what's it gonna take tournait même sur Nova avant l'existence du groupe ! Le fait est que j'ai joué tous les instruments durant l'enregistrement, ce qui est sympa, mais qu'une fois sur scène j'ai besoin de quelques amis musiciens pour me filer un coup de main. On a donc crée le groupe en un mois. Ça n'a pas toujours bien sonné au début, mais maintenant avec la sortie de l'album
The Words on est prêt à blaster le public ! J'espère que vous aimez..."
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Myspace Quelques vidéos ci-dessous :
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Reggae-Dub-Ragga
11 juillet 2009
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Jackie Mittoo est né en 1948 dans la ville de Kingston en Jamaïque. Dès l'âge de 14 ans il devient pianiste professionnel, il se produit alors avec ses deux groupes du moment
The Sheiks et
The Rivals.
C'est à cette période qu'il rencontre
Clement 'Coxsone' Dodd qui l'invite à jouer lors de sessions d'enregistrement pour le grand Studio One. Peu de temps après quelques musiciens issus de ce studio décident de fonder un groupe qui entrera dans la légende :
The Skatalites. Jackie Mittoo est l'un des membres fondateurs des Skatalites à l'âge de 15 ans seulement. Il y côtoie entre autre Lloyd Brevett (basse), Don Drummond (trombone) ou Tommy McCook (saxophone).
Entre 1964 et 1965 les Skatalites deviennent le groupe n°1 en Jamaïque, ils jouent aussi en backing pour de nombreux autres artistes. En 1965 le groupe se sépare une première fois et Mittoo reste clavieriste pour le groupe The Soul Brothers, il joue également pour la majorité des artistes qui se produisent au Studio One.
La liste des musiciens avec lesquels il sera amené à collaborer est impressionnante. Jusqu'à sa mort en 1990 à Toronto il a joué et produit Ken Boothe,
Alton Ellis, Delroy Wilson, Marcia Griffiths, Sugar Minott, Prince Jazzbo, Freddie McGregor et Bunny Wailer...
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Jah Thomas ou encore
Zap Pow !
Vidéos :
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Reggae-Dub-Ragga
1 juillet 2009
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Damian Marley, fils du chanteur qu'on ne présente plus et de "miss monde 1976" Cindy Breakspeare, est né inna Kingston le 21 juillet 1978. Il s'oriente naturellement vers la musique et commence à poser avec le groupe
Sheperds au tout début des années 90'.
Après la dissolution du groupe Damian sort en solo son premier single sur le label crée par Bob himself, le célèbre
Tuff Gong, en 1993. Les années avancent et Damian continue de composer, ses influences vont du reggae roots au hip hop en passant par la soul et le ragga.
C'est son second album,
Halfway Tree, qui le propulse vraiment sur le devant de la scène. C'est avec cette production que Damian Marley obtient pour la première fois en 2001 le Grammy Award du meilleur album reggae.
Cinq années plus tard, après avoir collaboré avec de grandes stars issues de différents courants musicaux, il se ré-appropriera la même distinction pour l'énorme album
Welcome To Jamrock où les morceaux incontournables s'enchaînent avec une incroyable facilité.
On peut également noter la proximité artistique avec son frère
Stephen Marley, chanteur et producteur, pour des collaborations réussies.
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Rootz Underground,
Garnett Silk, ou encore
Anthony B !
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Myspace Ci-desssous des performances de Damian Marley :
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Reggae-Dub-Ragga
16 juin 2009
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Winston Hubert McIntoch (aka Peter Tosh) est né en 1944 dans le quartier défavorisé de Trenchtown à Kingston. Il forme rapidement un duo musical qui oscille entre ska et reggae avec le futur très grand Bob Marley. C'est en compagnie de Bunny Wailer que le socle des Wailers prendra forme, assurant rapidement une production irréprochable pour les trois albums majeurs que sont "Soul Rebel", "Catch A Fire" et "Burnin". On retrouve Peter Tosh à la composition et au chant sur de nombreux titres de cette époque, et déjà le côté revendicatif et engagé de Tosh semble bien plus profond que chez ses acolytes.
C'est lorsque Bob Marley se met plus en avant en rebaptisant le groupe Bob Marley & The Wailers que Peter lâche la bande. Il ne pardonnera pas au groupe de s'éloigner du combat politique dans lequel il s'était investi corps et âme. Quelque temps plus tard, en 1976, Tosh sort son premier album solo intitulé "Legalize It" qui reste un disque incontournable encore aujourd'hui pour tout fan de reggae roots.
Il est amusant de voir que Keith Richards, le guitariste des Stones, a posé quelques riffs de guitare sur le troisième album solo de Tosh. On y retrouve également Mick Jagger sur le titre "Don't Look Back".
Tosh marque aussi les esprits en interpellant les politiciens jamaïquains lors d'un concert pour la réunion nationale (la guerre des clans faisait des centaines de morts chaque année) avec un gros joint au coin des lèvres...
La carrière de ce grand monsieur du reggae prend fin de manière tragique en 1987 puisqu'il se fait assassiner par un yardie énervé qui lui réclamait de l'argent.
Si vous aimez Peter Tosh vous aimerez également
Culture (Reggae-Jamaïque) ,
Anthony B (Reggae/Dancehall-Jamaïque) , ou
Zap Pow (Reggae-Jamaïque) !!!
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Reggae-Dub-Ragga
5 juin 2009
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Cedric Myton grandit à Sainte Catherine, c'est pendant son adolescence qu'il commence à chanter dans le groupe des
Bellstar. C'est ensuite avec les
Tartans (aux côtés de Lincoln Thompson et de Lindberg Lewis) qu'il commence à faire parler de lui. C'est après être passé par la case des
Royal Rasses qu'il connaîtra une évolution majeure, car dans les années 70' il forme les
Congos avec Ashanti Roy Johnson et Watty Burnett.
Produit par Lee Perry le groupe des Congos possède en son sein une voix mystique et spirituelle avec Cedric Myton. L'album "Heart Of The Congos" est une référence incontournable pour tout amateur de reggae, l'utilisation du Congo n'est pas fortuite puisqu'elle fait référence au pays le plus pillé humainement par les colons occidentaux.
Grand chanteur Cedric Myton est régulièrement sollicité, on a ainsi pu le voir en collaboration avec Groundation,
Bingui Jaa Jammy, ou encore en acoustique sur le label Inna De Yard. Un album réunissant des artistes roots et dancehall de toutes les générations a été réalisé en hommage au titre
Fisherman des Congos.
Si vous aimez Cedric Congo Myton vous aimerez également
Winston McAnuff (Reggae-Jamaïque),
Stranjah Cole (Reggae-Jamaïque), ou encore
Ijahman Levi (Reggae-Jamaïque) !
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Reggae-Dub-Ragga
28 mai 2009
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Trevor Sutherland (aka Ijahman Levi) est né en 1946 en Jamaïque. Il grandit dans un quartier pauvre et désormais célèbre, Trenchtown. Adolescent il parcourt les rues de Kingston où il croisera entre autres le grand Bob Marley, puis il enregistre ses premiers titres avec l'appui du producteur Duke Reid.
Plus tard il émigre avec ses parents en Angleterre, puisant alors son inspiration dans la musique soul et funk.
Il y rencontre
Rico Rodriguez avec qui il enregistre quelques chansons.
Après deux années difficiles en prison, où il prendra le nom d'Ijahman Levi, Trevor se tourne vers la religion et le mysticisme. S'ensuivront des enregistrements de titres fabuleux comme
Jah Heavy Load ou
Jah Is No Secret.
Fervent croyant Ijahman Levi parle sans cesse de Jah, du Zion et du rastafarisme : point de bling-bling avec ce monsieur du reggae, c'est avec sagesse et philosophie qu'il faut aborder ses créations.
Si vous aimez Ijahman Levi vous aimerez également
Winston McAnuff (Reggae-Jamaïque),
Junior Murvin (Reggae-Jamaïque), ou
Zap Pow (Reggae-Jamaïque) !
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Reggae-Dub-Ragga
26 mai 2009
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Sorti au Japon début 2009 l'album éponyme du groupe Maccafat est un condensé de dub à la sauce roots qui fait du bien aux tympans en manque de rythmes langoureux, balancés, hypnotiques...
Maccafat c'est la rencontre de deux musiciens, Ao Inoue (du groupe Dry & Heavy) au chant et Daihachi Oki (du groupe Moss) aux machines, à la guitare, aux percussions et à la basse.
Sur leur premier albums Ao et Daihachi proposent un assemblage de titres bien construits, majoritairement chantés en anglais, où le timbre planant d'Inoue vient se poser tout en délicatesse sur des riddims efficaces.
On nottera quelques reprises de grands classiques jamaïcains assez agréables, et d'autres titres marqués par l'héritage dub qui surprennent autant qu'ils séduisent.
Si vous aimez Maccafat vous aimerez aussi les
Fishmans (dub-japon),
The Heavymanners (Reggae-Japon), et
Likkle Mai (Electro roots-Japon) !
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Myspace ; et
une vidéo de live sur le site de blip.tv
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Reggae-Dub-Ragga
25 mai 2009
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C'est en 1995 que débute l'aventure Vibronics : Steeve Vibronics découvre alors la musique électronique et surtout le Aba-Shanti-I Soundsystem. Il crée alors chez lui un mini studio dub, avec comme équipement de base quelques synthés, un Atari, un mixer 16 pistes et des unités de reverb et d'écho.
Un an plus tard Vibronics rencontre les pionniers du dub en Angleterre, les
Zion Train, pour une collaboration artistique qui dure encore aujourd'hui.
S'ensuit une tournée européenne de 22 dates où l'énergie, les grosses basses et une mentalité vraiment roots séduiront les foules. Il n'en fallait pas plus pour que le grand
Jah Shaka se penche sur ce groupe émergeant : les singles les plus puissants de Vibronics passeront en boucle dans le meilleur soundsystem anglais !
On peut maintenant découvrir les Vibronics grâce à des albums excellents d'où se détachent des collaborations avec des chanteurs renommés comme Lutan Fyah, Ranking Joe, Macka B, ou Kenny Knots...
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Site Officiel ;
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Reggae-Dub-Ragga
20 mai 2009
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Anthony b, Keith Blair de son vrai nom, est né le 31 mars 1976 à Clark's Town sur la petite île de la Jamaïque.
Comme la majorité des enfants à cette période il découvre le chant à travers la religion, et filera ensuite rapidement vers les sound systems où l'on se doit de faire ses premières armes.
C'est au mlieu des années 90 qu'Anthony B va commencer à véritablement faire parler de lui, surtout grâce à son album "Real Revolutionary" bourré de singles qui décoiffent dont l'énorme Repentance Time.
Bien qu'il évoque souvent de nombreux artistes comme références (Bob Marley, Toots & The Maytals, Gregory Isaacs...), Anthony B trouve surtout son inspiration chez Peter Tosh : ce guerrier musical aux textes engagés et dénonciateurs, qui sera mort pour avoir défendu jusqu'au bout ses convictions, reste sans conteste l'influence majeure d'Anthony B.
Capable de chanter sur des riddims roots ou dancehall, inspiré de temps à autre par les productions hip hop, cet artiste bien aimé des français (souvenez vous de son concert à l'ancien Bikini à Toulouse!!!) sort de nombreux disques chaque années qui connaissent quasiment tous le succès.
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Reggae-Dub-Ragga
15 mai 2009
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LKJ, l'homme au chapeau, est né en 1952 en Jamaïque. Arrivé en Angleterre vers l'âge de dix ans ses études sont une vraie réussite, et petit à petit c'est vers la sociologie qu'il se tourne.
Proche de mouvement comme les Black Panthers il milite pour la reconnaissance des droits du peuple noir, et commence à écrire des poèmes sur la cause africaine.
Puis c'est en musique que Linton va mettre en forme ses écritures, sur des dubs bien puissants il va tout simplement créer le style du dub poetry, sorte de slam rub a dub complètement nouveau à l'époque.
Plusieurs fois nominé au Grammy Awards, Kwesi Jonhson va également s'essayer au journalisme, à l'animation radio, sans jamais quitter le monde du reggae pour lequel il aura tant oeuvré tout au long de sa carrière.
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Myspace Un peu de poésie engagée :
Un peu de musique :
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